Pas de stylo, juste ce grossier stabilo bleu. Pas de papier hormis les quelques pages vierges de mon bouquin. Peu de lumière, seulement le halo timide d'un réverbère que mon ombre épargne. Le bruit de la mer, ce n'est pas l'océan cette fois... Étrangement, je ne sais pas si c'est le pays ou la différence d'appellation mais ça n'a pas le même son, pas la même odeur, pas le même air, mais c'est la même magie.
Les phares au loin me font des clins d'œil.
C'est marée basse, je suis assise en tailleur sur le bord de la digue, les brise-lames se dressent grands et fiers, ils règnent en maître sur la plage sombre et brumeuse quasi déserte, on dirait des piliers centenaires gardiens de l'ancienne citée corsaire.
J'ai envie de prendre le large, voilà que ça me reprend! En fait ça m'a jamais quittée, même si je m'échine à me faire croire le contraire.
C'est marrant, où qu'on soit sur cette terre, on voit partout les même étoiles la nuit. Et bien je dirais ce soir ; où qu'on soit sur cette terre, c'est définitivement romantique une plage la nuit dans le brouillard!
J'ai froid, je vais rentrer.
Les phares au loin me font des clins d'œil.
C'est marée basse, je suis assise en tailleur sur le bord de la digue, les brise-lames se dressent grands et fiers, ils règnent en maître sur la plage sombre et brumeuse quasi déserte, on dirait des piliers centenaires gardiens de l'ancienne citée corsaire.
J'ai envie de prendre le large, voilà que ça me reprend! En fait ça m'a jamais quittée, même si je m'échine à me faire croire le contraire.
C'est marrant, où qu'on soit sur cette terre, on voit partout les même étoiles la nuit. Et bien je dirais ce soir ; où qu'on soit sur cette terre, c'est définitivement romantique une plage la nuit dans le brouillard!
J'ai froid, je vais rentrer.
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