Lá-bas ce ne sont pas les palmiers qui se plient sous la brume matinale d'un mois de novembre Sévillan pour se déployer fiers et verts sous les rayons de soleils du déjeuner, mais bien des feuilles rouges, oranges, jaunes moutarde qui se détachent doucement des arbres, virevoltent, s'éxercent à quelques sauts périeux, et viennent finalement carresser les pavés glacés de l'ancienne citée Mauresque...
J'en avait presque oublié que les arbres se désinhibaient au point de nous dévoiler leur nudité à cette époque!
Mais quel bonheur de danser avec les feuilles sous des couleurs de feu :)
2 commentaires:
Aussi beau à lire qu'à regarder !!
Bisous bisous
De très jolies photos!
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