jeudi 31 mars 2011

Sans queue ni tête!

A la base j'écris ce post parce que je veux partager une redécouverte musicale... Je l'avais piquée sur l'iPod d'une copine quand j'étais en transit sur Paris il y a ?? ans et puis je l'avais perdue. C'est une chanson trop cute et tellement girly : c'est une chanson qui nous fait du bien à nous les filles, ouais!
Et comme je viens déjà de poster une autre vidéo de la même chanteuse sur mon profil facebook je me disais que si je postais encore celle-là, elle allait se perdre dans la masse et n'avoir aucune visibilité.

Alors voilà ce que j'écoute en boucle depuis que j'ai fini de bosser mon "projet Cuba" : "I'll kill her" de Soko. Aucune fille ne m'a piqué mon mec puisque je n'en ai pas mais j'adore cette chanson quand même! :D (J'ai envie d'écrire "lol" mais c'est tellement cul-cul...)


Sinon j'ai une énergie créative incroyable!!! Pourtant il faisait tout gris aujourd'hui... Je me sens pousser des ailes, j'avais envie de tournoyer comme les feuilles de tilleul en remontant la rue qui me ramène chez moi ce soir. C'est comme si j'avais une "espoirite" aigüe!
J'ai même écrit hier vers 16h45 sur mon petit carnet :

"Ohlala! J'ai envie d'écrire; de reprendre! Ohlala!"

Après un mois et demi de... panne.
Puis j'ai également écrit ceci :

" En fait je crois... Qu'il faut écrire comme ça vient sans s'arrêter, d'une traite, cracher les mots et l'histoire sans reprendre son souffle... Et ne reprendre qu'une fois que TOUT a été dit."

Alors voilà, je raconte ma life à la terre entière à 1h41 du matin alors que probablement tout le monde s'en fout, je me trouve très nombriliste mais tant pis, je suis dans une dynamique de cogitation et de production extrème : inspiration et créativité, et ça fait tellement du bien que je voulais tout simplement partager ce petit bout de patate (ou de pêche au choix!), on sait jamais que ça vous fasse défaut, profitez-en!
Miam :)

Ah sinon pour info, en vérifiant que l'adjectif "nombriliste" existait bien, je suis tombée sur la définition de nihiliste et je me suis rendue compte qu'en réalité je n'avais fichtrement aucune idée de ce que ça pouvait bien vouloir dire alors voici :
"Nihilisme = courant philosophique selon lequel le monde et particulièrement l'existence humaine est dénué, dans l'absolu, de toute signification, tout but, toute vérité compréhensible ou toutes valeurs." (wikipedia of course)

Bon ben... bonne nuit!

PS : Pour bien vous signifier l'ampleur de ma motivation et de ma force de travail ce soir, je tiens à préciser que... JE NE SUIS PAS ALLEE DANSER tellement l'envie de bosser était forte! Je crois bien que ça ne m'était jamais arrivée! Comment ai-je pu?! Mais je ne regrette pas, même si mes jambes me démangent GRAVE :D

mardi 29 mars 2011

J'y comprends rien et tant mieux!

Je ne sais pas si cela va devenir une habitude mais j'aime bien vous mettre une chanson pour lire ce qui suit, alors voici ma découverte du jour : Eva Cassidy.



Mardi 29 mars, 22h53 (en réalité 22h48 car j’avance de 5 minutes).


Il est grand temps que je vous fasse une révélation, que dis-je un aveux, pis, une confession... :


Je - vais - voir - ... - une - ... - psy.

Ouaich!


Non je ne retourne pas dix ans en arrière dans ma lointaine banlieue à l’époque où j’écoutais du rap à fond les ballons, le «ouaich» est là pour dédramatiser la nouvelle. Oui, car aujourd’hui il existe encore des individus qui croient qu’aller voir un psy est un signe de faiblesse... Juré craché : j’en connais! Parmi mes amis qui datent des années ci-dessus citées d’ailleurs. (Attention : exercice de diction!)

Alors que moi, traversant ma crise existentielle de la vingt-cinquaine, je me suis juste dit : «Au mieux ça me changera les idées (au sens littéral du terme), au pire, à part user mes fonds de poche, ça ne changera rien du tout. Et au moins j’aurais essayé...»


Cette après-midi j’avais mon troisième rendez-vous. A seize heures.


Et je me lamentais. Je me lamentais de ne rien comprendre à ce putain de monde, à cette putain de vie. Alors que ça fait des années que je m’auto-flagelle à coups de cerveau sur le coeur! Je ne comprends pas pourquoi, si moi j’ai été capable de faire un certain travail sur sur moi-même, d’autres ne le sont pas. Je ne comprends pas pourquoi l’humain ne l’est pas toujours. Je ne comprends pas pourquoi les gens mentent, pourquoi les gens sont faux, pourquoi les gens ne voient pas les couleurs de la même couleur, pourquoi... pourquoi je suis si sensible alors que d’autres semblent être de marbre...

Enfin, tout ce genre de masturbation mentale comme dirait Madame la Psy!

Oui, parce que je vais vous dire un secret :

Il parait... qu’on ne peut pas tout comprendre.

Dingue non? Non pas si dingue que ça je vous l’accorde. Parce que le plus dingue n’est pas de le savoir mais de l’assimiler, et ça...

Bref, pour couper court à mes piailleries Mme la Psy a comparé le fait de «se poser une question» avec celui de «partir en voyage». Et elle m’a dit : «Avant de partir en voyage vous ouvrez UNE CARTE non?», «Euh oui...», «Et ben voilà, et sachez que dans votre CARTE à vous il y a le mental, l’émotionnel, et le physique. Et vous, vous cheminez beaucoup trop du côté du mental et de l’émotionnel (sans blague) mais vous cherchez jamais du côté du physique...»


Bon, là, j’ai pas encore tout capté mais ça c'est mon problème et en plus, visiblement on me demande d’arrêter de penser alors je vais me contenter de relater deux choses qui me sont arrivées aujourd’hui auxquelles je ne comprends absolument rien!


La première:

En ce moment je lis Y de repente fue ayer (Et soudain ce fut hier) de Boris Izaguirre.

Et à la page 150, deux heures après mon rendez-vous je lis ceci :

«Il a toujours aimé les questions(...). Mais s'il devait continuer à vivre, ce serait pour abandonner ces questions auxquelles ils ne trouvait jamais de réponses immédiates(...). Il prit une décision. Chaque question serait une CARTE; chaque réponse un trésor


La seconde* :

*(si vous avez peur des petits bonhommes verts abstenez-vous, ça touche carrément au surnaturel là!)

Après ma «séance» je m’en suis allée acheter une petite salade lentilles-boulghour de chez Monop’, une «vache à boire» à la vanille et larme de sirop d’érable et une banane pour pique-niquer dans le square de l’église Saint-Ambroise en attendant mon rendez-vous à la banque. Jusqu’ici, passionnant n’est-ce pas?!

J’ai englouti ma salade tellement j’étais affamée (il était 15h30!), j’ai dégusté mon yaourt à boire, et j’ai péniblement terminé ma banane MAIS, parce qu’il y a un mais... J’ai été prise d’une incommensurable envie de croquer un morceau de chocolat! En fait j’ai pris la sale habitude de terminer mes repas par un gros carré de chocolat qui craque bien sous la dent et quand je n’en ai pas ben... il me manque un truc.

J’ai donc commencé à zieuter la boulangerie d’en face en me disant que, quand même, c’était pas raisonnable, mais plus d’un point de vue pécuniaire que d’un point de vue ligne pour tout vous dire... Puis j’ai tenté de me raisonner en pensant que je pourrais manger un biscuit type Petit Ecolier en arrivant chez le petit que je garde... Ai repensé à la boulangerie... Et finalement décidé de rester glander à lire au soleil pendant les quinze minutes d’attente qui me restaient parce que j’avais quand même la méga flemme de bouger mon derrière jusqu’au trottoir d’en face.


Quand soudain,

le monsieur assis deux bancs plus loin,

s’est planté devant moi,

et,


armé de deux tablettes de chocolat au lait et noisettes Dia% m’a demandé si je voulais du chocolat et m’a fourré une tablette entière dans les mains avant de s’en retourner s’asseoir sur son banc!!!!!!!!!!!


SERIEUX!!!


Nan mais moi là je comprends plus rien, ou alors Dieux existe ou alors Marie a vraiment été en ménage avec le Saint Esprit mais va falloir m’expliquer.


Enfin non... J’y comprends rien, et tant mieux!



Vous ne comprenez pas le pourquoi de ces photos? ...

moi non plus!

jeudi 24 mars 2011

Chocolat chaud

Avant toute chose, veuillez SVP lancer la vidéo ci-dessous pour écouter la chanson "Corrida" de Francis Cabrel pendant votre lecture... ;)


J'ai une petite peine de coeur,
à laquelle je ne comprend fichtrement rien d'ailleurs.
Un ange m'est tombé du ciel... puis s'est envolé.
Tout s'est déroulé sous mes yeux sans que je puisse prendre part à la scène alors que j'en étais le second rôle. Le vie est une chienne et elle a bouffé le poupon tout blond!

Ce soir je suis allée danser.
Des danseurs malhabiles ont écrasé à plusieurs reprises l'orteil que j'avais cassé il y a trois mois et, prise d'une douleur effroyable, j'ai du cesser de danser pendant un (trop) long moment.
J'en ai pleuré...
Si je n'ai plus la danse je suis en panne. Elle est mon essence, j'ai besoin d'elle pour avancer.

Sur le chemin du retour j'ai eu mon noctilien mais... j'ai raté mon dernier train.
Résultat : une heure d'attente dans le froid et l'insécurité propre aux gares la nuit.
Montparnasse, 1h04.
Je suis donc allée me réfugier à l'Atlantique, le café-brasserie du coin. A mon arrivée la salle était complètement vide, pas un chat, même gris! (parce que la nuit, tous les chats sont...). En m'asseyant je me demandais si on écoutait Nostalgie ou Chérie FM mais c'était RTL2, j'y était presque! "Corrida" de Francis Cabrel sortait des hauts-parleurs et j'en avais un pincement au coeur car je me rappelais le jour où ma meilleure amie m'avait plantée devant sa chaîne hifi en me disant : "écoute!" ... "nan mais, ECOUTES j'te dis" ... "les paroles!"

Je commandai un chocolat chaud.

Le dos humide à cause de l'effort et malgré deux gilets rehaussés d'un foulard de gitane à fleurs, je grelottais dans la fraîcheur d'une nuit de printemps encore hésitant.

Il arriva brûlant et tacheté de poudre de cacao. Le contact de ma main sur la faïence chaude provoqua un frisson qui me parcouru l'échine de haut en bas. J'accrochai ma deuxième main à la tasse et rapprochai mon nez du liquide fumant : quelle bonne odeur de chocolat chaud, une odeur de dimanche après-midi chez papi-mamie en Normandie. Sans les beignets aux pommes!
Une odeur rassurante...
Ensuite j'ai plongé mes lèvres dans la mousse en prenant soin de ne pas atteindre le breuvage pour ne pas me brûler : un DELICE! Doux, onctueux, sucré; mmmmmh...
Puis je m'y suis risquée, j'ai aspiré à petites gorgées le liquide encore très chaud en faisant un peu de bruit. Uns à uns mon palet, ma glotte et ma trachée se sont réchauffés, quel soulagement!
J'avais l'impression d'avaler une bouillotte : chaud et mou.
C'est un peu comme si la peluche Nesquick était venue poser délicatement un plaid en polaire sur mes épaules : chaud et douillet.
C'était teeellement bon... :)

Aujourd'hui c'est un chocolat chaud qui m'a réconfortée, comme quoi, parfois il en faut peu!


mercredi 9 mars 2011

Se la pète!

00h43
(Dans 43 il y a 4; mon chiffre fétiche, et 4+3=7; mon autre chiffre fétiche!)

Cette fichue chanson - Almost Blue - m'empêche de raisonner, me cloue le cul sur le clic-clac déplié, dos au mur blanc, sous la lumière tamisée de deux petites ampoules basse consommation... à laisser couler les mots et les pensées, le nez en l'air et les doigts en suspens.

Léthargie totale!

Alors je me secoue et ne trouve rien de mieux à faire que "ma cocotte" en me photographiant avec mes nouvelles lunettes!
Mes lunettes; un peu fashion mais pas trop, bobo désinvolte, poète vagabond des années 30... qui donnent une allure d'écrivain-artiste faussement humble.

On est loin de la sulfureuse gitane qui enflamme la piste de danse!

Mais quoi? ... Oui! Je le confesse; j'ai plié sous le joug de la mode et de la "classe" Parisienne. Et...
Ô incroyable révélation : ça m'a plu!
Oui, ça m'a plu...

Malgré tous les bidonvilles que j'ai traversé, malgré la poussière que j'ai soulevée.

Alors voilà, je me la pète avec mes lunettes branchouilles et mon bouquin de Nietzsche (j'ai encore regardé l'orthographe!!), et pis c'est tout! :)

Romantique et musique...


Cette mélodie est comme une caresse de velours.

Elle coule telles les guimauves acidulées des fêtes foraines.

Ronde et chaude, cueillant toute la mélancolie et le désarroi d'un être afin de les déposer dans un coffret de bois à l'intérieur matelassé de pastel.


Berceuse d'âme...


A moi, ça me donne envie de m'affaler sur un canapé Richelieu couleur aubergine et de manger des fraises Tagada!

Ou de caresser sa peau d'ébène des heures durant.


There is a part of me that's always true... Always.”

Best off Kamil début d'année

Il y a bien longtemps que je n'ai pas publié les perles de mon petit protégé... C'est sa maman qui va être contente de lire les exploits verbaux de son fils en revenant d'une dure journée de labeur dans le métro!

*
"Aujourd'hui j'ai pris un bain moussonné!"

Moi aussi tiens, j'vais m'en prendre un :)

*
Kamil à son beau-père de 28 ans qui a emménagé avec sa maman il y a un peu moins de 4 mois :
- Hè William, quand t'auras 40 ans, tu seras toujours avec ma maman?

*
K : Moi mon rêve c'est de rester toujours toujours toujours enfant!
Moi : Ah bon? dis-je étonnée parce que souvent quand on est gosse on veut vite être "grand" pour faire tout ce qu'on veut...
K : Ben oui la vie d'un enfant c'est super génial; tu joues tout le temps et puis en plus tes parents ils meurent jamais parce qu'ils sont pas vieux.

Il va m'achever ce p'tit...

*
Lorsque l'hiver était encore bien présent, on rentrait un soir vers 19h, il faisait nuit noire.
Tout d'un coup Kamil me précipite derrière une voiture garée sur du trottoir et me dit :
- Attention tu vas prendre un coup de lune!
Devant mon air interrogatif il ajoute :
- Ben oui : on prend bien des coups de soleil alors on peut prendre des coups de lune!

Comme c'est poétique...!!!

*
Un soir au coucher :
- Moi ça m'énerve parce que je m'endors toujours sans m'en rendre compte!

Pas faux...

*
Leçon sur la fécondation : Kamil apprend que le mâle produit des spermatozoïdes, la femelle un ou plusieurs ovules et que 1 spermatozoïde + 1 ovule = un oeuf = un nouvel être vivant.
Trouvant la leçon un poil succincte je lui demande s'il sait par où sortent les spermatozoïdes chez l'homme et il répond du tac o tac :
- Du péni!
...
- Ah non, ça Kamil c'est le centime anglais...

lundi 7 mars 2011

Perplexes... comme le chimpanzé?!

J'avais pensé à plusieurs titres pour ce billet comme "Un matin dans le métro" ou "De Nietzsche et de CCIP" (Chambre de Commerce et de l'Industrie de Paris), mais je me suis dit que ça vous donnerait pas forcément l'incentive (oui j'ai des restes de ma formation marketing) pour le lire.

J'étais donc dans le métro en train de lire un passage de la section "De l'âme des artistes et des écrivains" de l'ouvrage "Humain trop humain I" de Friedrich Nietzsche (attention : n-I-E-T-Z-s-c-h-e!) et...
Quoi? Je me la pète?? Mais trop pas!
Attendez, je vous signale que je viens de traverser une période de crise existentielle absolument abominable! Mais si vous savez bien; le genre de désagrément mental qui revient régulièrement tout au long d'une vie, mais à fréquence démultipliée entre 20 et 30 ans! (35?)

Bref, alors forcément, dimanche soir il y a deux semaines j'ai voulu prendre mon destin en main et je suis descendue à la cave... fouiller mes vieux cartons dans l'espoir d'y dénicher un roman de bas étage qui me rendrait momentanément la vie plus légère et...
Je suis remontée avec "Humain trop humain" de Nietzsche et "Introduction à la psychanalyse" de Freud! Appelez ça erreur de parcours ou ce que vous voudrez, le fait est que je me suis retrouvée à lire ma première oeuvre philosophique dans le métro il y a de ça quelques jours.

Alors je vous préviens tout de suite, même si ça fait méga classe de s'afficher en public avec un truc pareil entre les mains, ça ne vous rend pas pour autant plus intelligent parce que je vous explique pas ma tête quand je suis tombée sur ce passage :

"199. L'attrait de l'inachevé en art.
L'inachevé produit souvent plus d'effet que le complet, dans le panégyrique surtout : on a justement besoin, pour ce qu'il se propose, du charme de l'inachevé, élément irrationnel qui fait comme miroiter une mer à l'imagination de l'auditeur et voile, tel un brouillard, le rivage opposé, c'est-à-dire les limites de l'être qu'il faut louer"

Là, (virgule) je lève la tête perplexe,

et,

je tombe,

sur cette affiche deux rangs de sièges derrière moi :

l'affiche complète annonce les portes ouvertes de la CCIP

Et je me dis... que c'est un truc de OUF et qu'il faut absolument que je le raconte sur mon blog!

Voilà.

Sinon panégyrique est un nom masculin qui signifie apologie, éloge.

De rien!


dimanche 6 mars 2011

Unusual sunday with a clue!

Aujourd'hui dimanche, j'avais consciencieusement mis mon réveil à 11h mais je me lève péniblement à midi à cause d'un rayon de soleil qui vient me piquer les yeux à travers les persiennes...

- Arghmmmm, grommelai-je!

Me v'là sur mes deux pieds, je baille, m'étire en levant les bras bien haut, me frotte les yeux, ouvre les volets et là : EXPLOSION DE SOLEIL!!! Youhou :D

Ca me donne envie de chanter, alors je commence par Lemon tree de Fool Garden; allez savoir pourquoi...! Puis j'enchaîne avec Sunday with a flu de Yodelice (vous savez, le groupe où il y a le super méga bogoss Maxim Nucci - pote de Marion Cotillard, Guillaume Cannet et toute la clic - qui chante!), et l'air est plutôt entraînant alors ça me donne la patate; écoutez plutôt :

(notez le "usual sunday with a flu" que j'ai perfidement adapté dans mon titre...!)


Ensuite, évidemment; c'est dimanche, il fait beau, je suis de bonne humeur alors je me fais des muffins aux pépites de chocolat pour le p'tit dej de demain (faut se donner du baume au coeur le lundi matin), et puis... un brin de ménage les fenêtres grandes ouvertes, et mon linge pour que ça sente bon la lessive dans tout l'appartement! On pourrait penser ces activités barbantes mais avec un soleil pareil tout est délicieux. D'ailleurs, comme pour illustrer mon discours j'entends sur FIP la douce voix de Rosario Giuliani me fredonner "je suis heureux il fait soleil"...


La patate!

Et le muffin :)


Allez, BON DIMANCHE!

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