Théâtre de l'Essaïon : petite salle au cœur de la capitale qui flirt avec Beaubourg, multiples voûtes pierre de taille
- (ici, j'appuie la parenthèse parce que je souhaite insister sur l'usage de celles-ci : tout d'abord, pas tellement bohème, quand le groupe qui passe n'est pas spécialement envoûtant ou que par exemple la chanteuse gargarise un tantinet à côté, et bien cela nous donne une excellent raison de lever le nez et de le laisser trainer à travers les méandres de l'enchevêtrement des pierres, ensuite, moi je sais pas mais confinée de la sorte six pieds sous terre dans un décors pareil, je m'imagine dans les années 30 entourée de gentlemans fumant la pipe et de cocottes chapeautées-gantées dont les corps s'emmêlent sur des rythmes jazzy, bref je me me vois sur une carte postale du Paris de l'entre deux guerres et c'est un grand voyage peu chère et guère fatiguant!) -
, chaises molletonnées de velours rouge, salle très chaleureuse où il est quand même préférable de venir avec écharpe et moufles en laine :p, lumières tamisées, acoustique sympathique...
Bon, alors à part une première partie de concert, comment dire, pendant laquelle j'ai passé mon temps à chercher tous les moindres détails qui me faisaient penser que NON ça n'était pas ... nul! jusqu'à ce que ma chère et tendre marion-ette se retourne vers moi pour me glisser un fatal : "mais c'est NUL nan? Faites-la taire!", j'ai laché prise et attendu, sourire narquois et grelottante, l'arrivée de Fanch et du p'tit BaZar!
Fanch, égal à lui même, seul sur scène avec sa guitare et son accordéon, interprète entier et perché qui nous embarque à coup sur la plus haute branche de son arbre. Magique, magnifique, fantastique ... hic hic hic! (ça c'est pour es verres de vin à notre santé :p)
Le p'tit BaZar, haaaaaa, le p'tit BaZaR, quel bordel pour décrire leur effet BaZaRdesque surtout que j'ai déjà du écrire 3 ou 4 billets sur eux alors là je vais faire ma feignasse et me contenter de vous balancer 2 petites vidéos, puis de toutes façons je sais que peu nombreux sont ceux qui me lisent jusqu'au bout :p
Et alors là, cette chanson, ça me fait le même effet que "la triste histoire du pauvre matin solitaire", vous savez, lecteurs asservis, celle que j'ai écouté environ 538,19 fois pendant mon voyage en Roumanie!! En plus j'ai réussi à filmer mon passage préféré, qui plus est en mode ZoOm (bon le 1er zoom j'ma ratée, c'est le 2ème quand ils parlent d'un petit cœur tout décousu raccommodé avec du fil et une aiguille...)
- (ici, j'appuie la parenthèse parce que je souhaite insister sur l'usage de celles-ci : tout d'abord, pas tellement bohème, quand le groupe qui passe n'est pas spécialement envoûtant ou que par exemple la chanteuse gargarise un tantinet à côté, et bien cela nous donne une excellent raison de lever le nez et de le laisser trainer à travers les méandres de l'enchevêtrement des pierres, ensuite, moi je sais pas mais confinée de la sorte six pieds sous terre dans un décors pareil, je m'imagine dans les années 30 entourée de gentlemans fumant la pipe et de cocottes chapeautées-gantées dont les corps s'emmêlent sur des rythmes jazzy, bref je me me vois sur une carte postale du Paris de l'entre deux guerres et c'est un grand voyage peu chère et guère fatiguant!) -
, chaises molletonnées de velours rouge, salle très chaleureuse où il est quand même préférable de venir avec écharpe et moufles en laine :p, lumières tamisées, acoustique sympathique...
Bon, alors à part une première partie de concert, comment dire, pendant laquelle j'ai passé mon temps à chercher tous les moindres détails qui me faisaient penser que NON ça n'était pas ... nul! jusqu'à ce que ma chère et tendre marion-ette se retourne vers moi pour me glisser un fatal : "mais c'est NUL nan? Faites-la taire!", j'ai laché prise et attendu, sourire narquois et grelottante, l'arrivée de Fanch et du p'tit BaZar!
Fanch, égal à lui même, seul sur scène avec sa guitare et son accordéon, interprète entier et perché qui nous embarque à coup sur la plus haute branche de son arbre. Magique, magnifique, fantastique ... hic hic hic! (ça c'est pour es verres de vin à notre santé :p)
Le p'tit BaZar, haaaaaa, le p'tit BaZaR, quel bordel pour décrire leur effet BaZaRdesque surtout que j'ai déjà du écrire 3 ou 4 billets sur eux alors là je vais faire ma feignasse et me contenter de vous balancer 2 petites vidéos, puis de toutes façons je sais que peu nombreux sont ceux qui me lisent jusqu'au bout :p
Sur ce morceau je suis chaque fois admirative du jeu d'archet de Lune, j'adore et je le répèterai encore la prochaine fois que je les verrai (en 2009!)
Et alors là, cette chanson, ça me fait le même effet que "la triste histoire du pauvre matin solitaire", vous savez, lecteurs asservis, celle que j'ai écouté environ 538,19 fois pendant mon voyage en Roumanie!! En plus j'ai réussi à filmer mon passage préféré, qui plus est en mode ZoOm (bon le 1er zoom j'ma ratée, c'est le 2ème quand ils parlent d'un petit cœur tout décousu raccommodé avec du fil et une aiguille...)